La roue de secours...ma couronne de Noël...
Il y a deux ans, j'expliquais comment je faisais ma couronne de Noël ICI . Pour la fabriquer, j'utilisais des branches des cyprès Leyland de notre haie mitoyenne avec le terrain voisin. Cette année, au moment de fabriquer cette couronne, j'étais partie pour faire la même chose...quand d'un coup, je me suis rappelée que nous avions arraché les fameux cyprès pour ériger un mur à la place. Flûte! Par quoi remplacer ces branchages qui avaient l'avantage d'être flexibles, capables de durer quelques mois sans sécher, ressemblant au sapin et ne perdant pas leurs aiguilles. J'ai eu beau réfléchir, à part aller en piquer dans une haie ailleurs, je ne voyais pas de végétaux présentant le même intérêt, autour de moi. J'allais devoir trouver autre chose. Quand je bricole, que je dois faire une armature, j'ai le réflexe fil ou câble électrique. Là, j'ai pensé gaine électrique plutôt...mais pas encore assez épais. Quand j'en ai parlé à mon époux, nous avons évoqué un truc qui serait aussi flexible qu'une chambre à air...heu, mais comment y enfoncer des épingles? C'est là que ça a fait tilt dans ma tête, une chambre à air, non, mais un pneu, oui! Un pneu de vélo d'enfant, bien sûr pour avoir le diamètre et la grosseur voulue. Allez Pépé (Pépé et Mémé, c'est ainsi que nos petits enfants nous appellent), va me démonter la roue, Stp. Pépé a un peu râlé parce que la roue était rouillée (ah, ben, oui, j'ai quand même choisi un vélo mis au rancard parce que devenu trop petit) et qu'elle ne se démontait pas facilement. Bon, me voici quand même avec mon pneu.
Pour bien faire, j'aurais dû l'emmailloter avec du tissus ou du papier...mais pas le temps de fignoler. Je l'ai donc entourée de guirlandes. Une seule ne suffisait pas, alors je les ai intercalées jusqu'à cacher le pneu.
Puis j'ai accroché les décos que je réserve habituellement à cette couronne.
Et la voici accrochée à la porte d'entrée
Alors, pas mal ma roue de secours, non?